des coulisses à la scène
"Petite il me faisait peur, il portait toujours le même pull trop petit effilé à la manche droite, des cheveux noirs drus. Il boitait, avait une jambe de bois souvenir de la guerre de 14. Il avait rencontré mon père à l’hôpital de Verdun tous deux blessés lui gravement à la jambe, mon père à la main. Ce que je sais incontestablement c’est qu’ils formèrent un duo fantastique concernant la technique de scène, les inventions de l’incroyable machinerie qui fit entre autres la renommée de Tabarin". Témoignage d'Anne-Marie Sandrini